Plus-de-Camp-Contre-les-Musulmans

Wednesday, January 24, 2007

ISRAEL ,ETATS-UNIS MÊME COMBAT (METTRE DES MUSULMANS DANS DES CAMPS ET LES TORTURER...)


Les camps contres les musulmans poussent comme des champignons qui y a t-il dans le Coran pour tant de haine? je propose à ce qui lise de lire le Coran afin de lutter contre cette désinformation et de savoir enfin qui sont les responsables un pas vers la paix c'est un pas qui compte pour les hommes.

voici l'affreuse liste ( des camps musulmans)

Le camp de concentration de Guantanamo, créé sur le territoire illégalement occupé de la base militaire du même nom, se trouve sous le commandement général nord-américain Jay W. Hood.

Le camp Condor (fonctionnement britannique )



Le camp Amarah (Irak)

Le camp Cropper (Irak)

Le Camp Nama (Irak)


Le Camp Ganci (Irak)

Le Camp Claiborne (Mosul )

Le Camp Bucca (Irak)

Les prisons d’Al-Salihlyye, Tasferat, Al-Russafa (Irak)

La prison Oum Kasr (Irak)

La prison d'Abou Ghraib (Irak)

........(il y en a d'autre)

Méthodes de mauvais traitements ( d'aprés une enquête du CICR)
Les méthodes de mauvais traitements les plus fréquemment évoqués sont les suivantes :


utilisation de menottes flexibles, quelquefois si serrées et portées si longtemps qu'elles ont provoqué des lésions de la peau et des effets à long terme sur les mains (dommages aux nerfs) observés par le CICR;
pression du visage contre la terre avec des bottes;
personnes détenues nues pendant plusieurs jours en isolement dans une cellule complètement vide et obscure incluant une latrine;

personnes exhibées nues hors de leur cellule devant d'autres personnes privées de liberté et des gardiens, quelquefois encapuchonnées ou la tête recouverte de sous-vêtements féminins;
être attaché d'une manière répétée pendant plusieurs heures par jour, menotté aux barreaux de la cellule dans une position humiliante (nu ou en sous-vêtement) ou inconfortable, causant une douleur physique;
maintien pendant des périodes prolongées dans des positions stressantes debout ou accroupi avec les bras tendus. […]


[...]un rapport de la Croix-Rouge dénonce les médecins qui conseillent les tortionnaires de la base militaire nord-américaine.-(Guatanamo) Le document confirme la collaboration de nombreux médecins avec les techniciens de la torture. Le système créé par le Pentagone et la CIA à Guantanamo ne peut être considéré autrement que comme un système intentionnel de traitement cruel, unusuel et dégradant et une forme de torture , affirmait la Croix-Rouge dans le rapport adressé à Washington, selon le New York Times. La Croix-Rouge affirme que des médecins et des infirmier conseillent les interrogateurs sur les vulnérabilités psychologiques des prisonniers, d'une manière que le rapport décrit comme une violation flagrante de léthique médicale . Selon le quotidien new-yorkais, les experts en torture de Guantanamo disposent des conseils d'un groupe appelé The Behavorial Science Consultation Team (Équipe de consultation de la science du comportement), surnommé "Biscuit". La prestigieuse revue médicale britannique The Lancet révélait que les médecins et d'autres professionnels de la santé étaient complices de la torture tant à Abou Ghraib qu'en Afghanistan, collaborant dans la conception et la pratique des interrogatoires psychologiques et physiquement coercitifs . Le camp de concentration de Guantanamo, créé sur le territoire illégalement occupé de la base militaire du même nom, se trouve sous le commandement général nord-américain Jay W. Hood.

Par Josh White et Dan EggenAuteurs de personnel de Washington PostSamedi 4 juin 2005 ; Page A01
Les États-Unis des nouveaux détails que militaires hier environ cinq ont confirmé des cas du personnel Étatsuniens traitant mal le Coran à la prison à Guantanamo, Cuba, reconnaissant que les soldats et les interrogateurs ont donné des coup de pied sur le livre saint musulman, ont mouillé des copies, pris le Coran pendant une interrogation et uriné par distraction ...
Le commandement général nord-américain Jay W. Hood, le commandant du groupe de travail de Guantanamo, qui a accompli l'enquête de trois semaines..., a confirmé cinq cas de maltraitances intentionnels ou involontaire du livre saint, qui semblent être indépendants, parmi 19 incidents depuis que le service de détention s'est ouvert en janvier 2002...


Il y a un an, le monde entier était horrifié par les photographies montrant des militaires américains en train de torturer des détenus irakiens dans la prison d’Abou Ghraib. Mais les atteintes aux droits humains commises par les forces américaines dans la «guerre contre le terrorisme» ne se limitent pas à Abou Ghraib. De plus, ceux qui ont perpétré ou cautionné ces actes n’ont pas été dûment sanctionnés, et les forces de sécurité irakiennes ont elles aussi recours à la torture.


Il y a un an, le monde découvrait les photos de détenus irakiens torturés physiquement et mentalement par l’armée américaine dans la prison d’Abou Ghraib.En Irak, les tortures et les autres violences contre des détenus ne se sont pas limitées à Abou Ghraib. De tels agissements ont été signalés dans d’autres centres de détention sous contrôle des États-Unis, par exemple au camp Bucca, le plus grand établissement de détention du sud de l’Irak, qui accueille environ 6000 détenus à l’heure actuelle, et dans un centre de détention à l’aéroport de Mossoul.Amnesty International continue de recevoir des informations faisant état de mauvais traitements infligés à des Irakiens lors d’arrestations et de descentes dans des habitations par les forces de sécurité américaines et irakiennes.


( information Washington poste) Au camp Bucca Quatre détenus sont morts et six ont été blessés dans le soulèvement le matin du 31 janvier.(Un musulman s'est plaint que les soldats ont endommagé plusieurs Corans.) Des dirigeants des États-Unis disent que les gardes ont agi touts seuls, sans l'ordre d'ouvrir le feu. Les règles ici tiennent compte de l'usage de la force mortelle si les soldats se sentent mis en danger.


Plus de 3.180 prisonniers sont maintenant à Abu Ghraib (centre d'interrogation primaire des militaires des États-Unis).( prison connu pour son affaire des tortures et on ne sais même pas si les prisonniers sont coupables ou innocents ? et de quoi? résistant dans son pays ???)


Plus de 6.000 prisonniers sont maintenant Au camp Bucca.( camp où il y eu des morts plusieurs fois avec des cas douteux exemple:d'un détenu masculin de 51 ans au camp Bucca qui a semblé souffrir ... « Le détenu a été rapidement déplacé à la station des premiers soins, où les procédures de sauvetage appropriées ne l'ont pas ressuscité, ». Un docteur à la station d'aide a prononcé le détenu mort au temps local de 9:40 heure du matin aujourd'hui.inforamtion de www.defenselink.mi


Les prisons d’Al-Salihlyye, Tasferat, Al-Russafa.(Étant donné que les initiatives prises pour mettre fin à ces brutalités se résument à bien peu de choses, les cas se sont multipliés et des personnes sont mortes sous la torture. Amnesty International estime qu’il est indispensable que les autorités irakiennes, américaines et britanniques prennent d’urgence des mesures afin de garantir le respect des droits des détenus. Dans le cas contraire, il n’y aura aucun espoir de mettre fin à la spirale des violences intercommunautaires en Irak.)

La prison Oum Kasr (Étant donné que les initiatives prises pour mettre fin à ces brutalités se résument à bien peu de choses, les cas se sont multipliés et des personnes sont mortes sous la torture. Le 12 février 2005, trois hommes – Majbal Adnan Latif al Awai, son frère Ali et Aidi Mahassan Lifteh – sont morts en détention. Ils avaient été arrêtés par la police irakienne à un poste de contrôle à Bagdad. Leurs corps présentaient des traces de torture.)

La prison d'Abou Ghraib ( la prison la plus connu du monde péblicités pour ses tortures...Karim R., un imam de quarante-sept ans, a été détenu et torturé par les forces américaines en 2003, puis par les forces irakiennes en 2005. Il a chaque fois été relâché sans que des charges aient été retenues contre lui. Il a déclaré à Amnesty International qu’en 2003, des soldats américains l’avaient insulté, lui avaient bandé les yeux et l’avaient battu et soumis à des décharges électriques avec un pistolet incapacitant dans un centre de détention du quartier de Kadhimiya, à Bagdad. En 2005, il a été détenu pendant seize jours dans des locaux du ministère de l’Intérieur irakien, toujours à Bagdad. Un bandeau sur les yeux, il a été frappé, aspergé d’eau et soumis à des décharges électriques alors qu’il était suspendu dans une position atrocement douloureuse. Il a déclaré que la personne qui l’interrogeait lui avait dit d’»avouer» des activités terroristes pour rester en vie.)

Le centre de transfert de Tallil (déployée par les militaires italiens.)( New York, le 23 juillet 2006) – Selon de nouveaux témoignages de soldats repris dans un rapport publié aujourd’hui par Human Rights Watch, les tortures et autres sévices sur les détenus en Irak étaient autorisés et monnaie courante, même après le scandale d’Abou Ghraïb qui avait éclaté en 2004. Le nouveau rapport contient des informations de première main fournies par des membres du personnel militaire américain interrogés par Human Rights Watch. Il décrit les sévices infligés aux détenus dans une installation interdite d’accès de l’aéroport de Bagdad et d’autres centres de détention situés à travers le territoire irakien.

Le camp Condor (fonctionnement britannique )(Pas de sang, pas de bavure: Récits de soldats sur les sévices infligés aux détenus en Irak), des soldats expliquent que les détenus ont été régulièrement soumis à de violents passages à tabac, forcés de demeurer dans des positions pénibles, privés de sommeil pendant de longues périodes et exposés à des températures de froid ou chaleur extrêmes. Ces récits émanent d’entretiens réalisés par Human Rights Watch, auxquels s’ajoutent des mémorandums et des déclarations faites sous serment qui proviennent de dossiers déclassifiés.Parmi les prisonniers morts en détention, certains pourraient avoir succombé à des tortures. De nombreuses informations suggèrent que c’est le cas de Baha Dawud al Maliki. Il était parmi les huit employés irakiens d’un hôtel arrêtés par des soldats britanniques à Bassora le 14 septembre 2003. Selon certaines sources, tous ont été passés à tabac par les soldats. Trois jours plus tard, le père de Baha s’est vu remettre le corps de son fils, ensanglanté et couvert d'hématomes. Un autre détenu, Kefah Taha, a été admis à l’hôpital dans un état critique, souffrant d'insuffisance rénale et d’importantes contusions. Le 22 octobre 2003, Amnesty International a adressé une lettre au ministère de la Défense britannique pour exprimer ses préoccupations à propos de la mort de Baha Dawud al Maliki et de la situation des autres prisonniers. Un fonctionnaire de ce ministère a répondu en novembre 2003 que cette affaire faisait l'objet d'une enquête de la Police militaire royale.)

Le camp Amarah (... une vidéo sur laquelle on voit des soldats britanniques traîner et frapper de jeunes Irakiens. Les faits ont eu lieu en janvier 2004 dans le camp militaire britannique d’Al Amarah, dans le sud de l’Irak. )

Le camp Cropper (Depuis mars 2003, des dizaines de milliers de personnes ont été arrêtées par les forces étrangères, principalement les forces américaines. La plupart sont détenues sans inculpation ni procès, certaines depuis plus de deux ans. Selon le site officiel de la force multinationale, fin novembre 2005, plus de 14 000 personnes étaient détenues pour raisons de sécurité. Elles sont réparties dans quatre centres principaux sous contrôle des Etats-Unis : la prison d’Abou Ghraib, près de Bagdad (4 710 détenus), le camp Bucca, au sud de l’Irak (7 365), le camp Cropper près de l’aéroport international de Bagdad (138) et Fort Suse (1 176), dans la province de Sulimaniya, au nord de l’Irak, auxquels viennent s’ajouter diverses installations carcérales des brigades et divisions (650).)

Le Camp Nama (Les mauvais traitements ont continué au Camp Nama pendant une grande partie de l’année 2004, même après que divers responsables de l’armée eurent enregistré des plaintes pour des exactions commises dans cette installation. Le Col. Stuart A. Herrington, officier en retraite des services de renseignements de l’armée, a été dépêché en Irak en vue d’évaluer la manière dont les renseignements étaient recueillis. Dans un mémorandum, il a informé le Gén. Barbara Fast, chef des services de renseignements de l’armée en Irak, que la Task Force 121 maltraitait les détenus et ne les enregistrait pas sur les listes de prisonniers de l’armée ni auprès du Comité International de la Croix-Rouge.L’interrogateur stationné au Camp Nama, mentionné plus haut, a déclaré que le commandant de l’unité des interrogatoires devait autoriser le recours aux méthodes violentes mais les autorisations étaient si fréquentes que les interrogateurs utilisaient un modèle préfabriqué pour remplir les formulaires d’autorisation: Il y avait une autorisation-type sur un ordinateur, une feuille que vous pouviez imprimer ou que vous pouviez remplir directement sur l’ordinateur. Et c’était juste une liste de techniques… vous pouviez simplement cocher les techniques que vous vouliez utiliser et si vous envisagiez un interrogatoire musclé, il suffisait de demander une signature. Je n’ai jamais vu une feuille non signée. C’était signé par le commandant, peu importe qui c’était… Il signait à chaque fois.)

Le Camp Ganci (Human Rights Watch a signalé que son nouveau rapport démontre que les soldats qui considéraient la pratique de la violence comme étant abusive ou illégale s’étaient heurtés à d’importants obstacles chaque fois qu’ils avaient cherché à rapporter ou exposer ces exactions. Par exemple, un garde MP de la base située près d’al-Qaïm, qui s’était plaint auprès d’un officier à propos des passages à tabac et autres brutalités auxquels il avait assisté, s’est entendu dire: « Il faut aller de l’avant et oublier ça, sergent ».)

Le Camp Claiborne (Mosul ) (Le rapport fait état de plusieurs cas où les sévices sur des détenus auraient été dénoncés aux responsables militaires à Bagdad et Washington mais peu ou rien n’a été fait pour mettre un terme à ces pratiques. Par exemple, une enquête, menée dans un centre de détention de l’aéroport de Mossoul au début de l’année 2004 et ouverte après qu’un détenu ait eu la mâchoire cassée, a révélé que les détenus de Mossoul faisaient régulièrement l’objet de sévices. Pourtant, aucune mesure n’a été prise pour punir les auteurs de ces méfaits et un interrogateur stationné à ce centre a décrit les graves exactions qui se sont poursuivies pendant toute l’année 2004. Un détenu est décédé alors qu’il subissait un interrogatoire en décembre 2003; un autre est mort en avril 2004.)

La prison de Baghram (afganistan) ( ces personnes sont internées pour une durée indéterminée et n’ont souvent aucune possibilité de communiquer avec le monde extérieur. Ces circonstances, qui peuvent en soi constituer une torture ou un mauvais traitement, augmentent le risque que les détenus soient maltraités par des gardiens. Des informations font régulièrement état de passages à tabac à coups de câbles en plastique, de décharges électriques et d’autres tortures ou mauvais traitements contre des détenus dans les centres contrôlés par les forces étrangères ....)
La CIA envoi les personnes génantes qu'ils appellent vulgairement "des terroriste" ou "islamiste" pour les envoyés dans des camps ( voir ci-dessus) ou l'une de leurs prison secrétes reparti partout dans le monde on appelait ca, il y a encore environ cinquante des rafles(avec les juifs).Mais la CIA et beaucoup plus discret et aprés tous il suffit de dire que c'est des terroristes pour que personne ne s'en préocupe.plusieurs cas d'enlevemnt ont été déclaré mais les USA reussisse toujours à étouffer l'affaire.


Cas de torture et de mauvais traitements (Irak)Khreisan Khalis Aballey, trente-neuf ans, a été arrêté chez lui à Bagdad le 30 avril 2003, avec son père âgé de quatre-vingts ans. Les soldats de la coalition étaient apparemment à la recherche d'Izzat al Duri, un haut responsable du parti Baas. Khreisan Aballey a insisté sur le fait qu’il ignorait où se trouvait ce dernier. Pendant son interrogatoire au centre de détention de l'aéroport de Bagdad, il a dû se tenir debout ou s'agenouiller devant un mur pendant sept jours et demi, la tête recouverte d'une cagoule et les poignets solidement attachés à l'aide de bandes en plastique. Une lumière vive était placée à côté de sa cagoule pendant que de la musique discordante était diffusée. Il a été privé de sommeil pendant toute cette période et a perdu connaissance une partie du temps. Il a déclaré qu'un soldat américain lui avait écrasé le pied, arrachant l'un des ongles de ses orteils. Comme il avait les genoux en sang à force d’être agenouillé, il est resté debout la plupart du temps. Lorsqu'on lui a dit, au bout de sept jours et demi, qu'il allait être libéré et qu'il pouvait s'asseoir, l'une de ses jambes avait enflé au point d’atteindre la taille d'un ballon de football. Il est resté au centre de détention deux jours de plus, apparemment pour que son état de santé s'améliore, et a été relâché le 9 mai 2003.Abdallah Khudhran al Shamran, un ressortissant saoudien, a déclaré après sa remise en liberté avoir été soumis à des décharges électriques. Au début du mois d'avril 2003, alors qu'il venait de Syrie et se rendait à Bagdad, il a été arrêté avec six ressortissants d'autres États à Al Rutba par des soldats américains et leurs alliés irakiens. Après leur arrestation, les soldats leur ont bandé les yeux et lié les mains derrière le dos, puis les ont forcés à marcher pendant trois heures. Abdallah al Shamran a déclaré avoir été battu et soumis à des décharges électriques lors de son arrivée dans un lieu inconnu. Il a aussi affirmé avoir été privé de sommeil à cause de la musique très forte diffusée en permanence, avoir été suspendu par les pieds et avoir eu le pénis attaché. Ceux qui l'ont arrêté l'accusaient d'être un « terroriste ».Shakir, un chauffeur de taxi de trente ans habitant Bassora, a été arrêté par des soldats britanniques le 10 avril 2003 en compagnie d’un ami. Il n'était pas armé, contrairement à son ami. Shakir a déclaré que les soldats l’ont frappé à la bouche, lui cassant une dent. Pendant qu'il était au sol, cinq militaires l'ont battu avec leur fusil et lui ont donné des coups de pied pendant environ dix minutes. Shakir et son ami ont été emmenés au South Club à Al Tahsiniya, à côté d’Al Saymar. Voici ce qu’il a déclaré au sujet de sa détention : « Ils m'ont recouvert la tête d'une cagoule et m'ont attaché les mains derrière le dos ; un ou deux soldats sont venus de temps en temps me donner des coups de pied. Ça a duré toute la nuit. Lorsque j'ai demandé de l’eau, ils m’ont frappé ; j’avais la bouche en sang, mais ils ne m'ont pas emmené à la salle de bains pour que je me lave. » Le lendemain, il a été conduit à l'hôpital, où des médecins militaires britanniques l'ont examiné. Après y avoir passé quatre jours, il a été transféré dans le centre de détention de la coalition à Oum Qasr, où il dit avoir été bien traité.




(...) Les informations contenues dans ce rapport sont fondées sur des allégations recueillies par le CICR lors d’entretiens particuliers avec des personnes privées de liberté, lors de visites des lieux d’internement des forces de la coalition entre mars et novembre 2003. (...) Le rapport est également fondé sur des déclarations fournies soit par d’autres personnes également privées de liberté au sein des mêmes centres d’internement, soit par des membres de leur famille. Durant cette période, le CICR a mené quelque 29 visites dans 14 centres d’internement situés au centre et dans le sud du pays. Les témoignages furent recueillis au camp Cropper (zone centrale de rétention des services de renseignement militaire, section des détenus "sensibles") ; dans les prisons d’Al-Salihlyye, Tasferat, Al-Russafa ; au centre correctionnel d’Abou Ghraib (y compris le camp Vigilant et la section "renseignement militaire") ; à Umm Qast et camp Bucca ainsi que dans un certain nombre de lieux d’internement temporaire, tels que le centre de transfert de Tallil, les camps Condor et Amarah, et l’hôpital de campagne à Shaibah. (...)